• No Game, No Life

    No Game, No Life

     

    Aussi longtemps qu'il y aura un moyen de gagner le jeu, les Blancs ne connaîtrons pas la défaite.

    L'anime en bref

    Date de sortie : 2014

    Nombre de saison : 1

    Nombre d'épisodes : 12 (25 minutes) + 6 OAV

    Réalisateur : ISHIZUKA Atsuko

    Genre : Jeux Vidéos, Fantastique

    Interdiction : Aucun

    Licencié par ADN

     

    De quoi ça cause ?

    Sora et Shiro, frère et soeur passionnés de jeux vidéo incroyablement doués, se sont élevés au rang de légende urbaine. Mais aux yeux du monde extérieur, ils ne restent que des NEETs et des Hikikomoris. L’apparition de Teto, un jeune garçon se faisant appelé « Dieu », va changer le cours des choses.

    Loin du monde réel, qu'ils considèrent comme un « jeu pourri », Teto entraîne nos deux héros dans un univers parallèle où la violence est proscrite et où tout conflit se règle par une partie de jeu. Des 16 peuples vivant là bas, les « Humains » sont les plus faibles. Suite à de trop nombreuses parties perdues, leur terre et leur nombre sont presque réduits à néant. Grâce à leur talent, Sora et Shiro pourront-ils inverser la tendance et sauver les Humains ?

     

    No Game, No Life

     

    Ce que j'en pense

    No Game, No Life (NGNL) est réellement mon coup de cœur anime de l'été, voire de l'année vu qu'il s'agit du premier que je regarde deux fois en une semaine. 

    On comprend tout de suite qu'on a affaire à des geek, des NEET (Not in Education, Employement or Training) même. En gros, les rebuts de la société. Mais cette fratrie excelle dans un domaine : les jeux. Peu importe le type (jeu de stratégie comme les échecs, jeu d'habilité, MMORPG...), ils gagnent toujours. Alors bon, qu'à d'intéressant deux personnes qui gagnent toujours. Eh bien, ce sont les difficultés qu'ils rencontrent. 

    A l'image d'Alice, ils finissent par traverser le miroir (ou plutôt, l'écran) et se trouve au Pays des Merveille après avoir battu Dieu aux échecs.  Un monde régit par le jeux. Tout jeu est bon (pari...), tant que les joueurs respectent les règles. C'est donc la situation parfaite pour les personnages. 

    Personnages réellement attachants. Tout d'abord, les Blancs, composés de Shiro (Blanche) et Sora (Ciel), sont les personnages principaux au passé sombre. Même s'ils semblent insouciants et seulement intéressés par le jeu, ils ont un sombre passé qui conduit à des scènes... hilarantes, mais aussi émouvantes voire poignantes dans certains épisodes. Quoiqu'il en soit, cette fratrie est réellement adorable. Tous deux sont dépendants de l'autre, soudés en toute circonstance et apporte un soutien indéfinissable à l'autre. Ils sont pourtant rivaux. Car les deux as de la console sont incapables de se départager... 

    L'autre personnage principal est Stéphanie, fille de l'ancien roi du royaume de l'Humanité. Roi qui a perdu tout son territoire au jeu. Celle-ci est le jouet des Blancs qui n'hésitent pas à la jeter en pâture ou à la ridiculiser dans toute circonstance. Néanmoins, elle se révèle d'une grande aide, notamment dans l'administration de la vie royale et se pose comme un pilier nécessaire au bon fonctionnement du royaume. 

    En plus de ces personnages viennent se rajouter d'autres compères, toujours féminin (qui finissent par former une sorte d'harem autour de Sora). Elfes, Humains, Anges, tous les types de personnages de RPG sont présents dans l'anime, ce qui renforce l'aspect jeux-vidéos. 

    L'autre point fort de l'anime, c'est son humour. La ridiculisation de Steph' (et des autres acolytes de Sora et Shiro), leurs réactions face à certaines situations, et surtout les nombreuses références à d'autres œuvres font sourire, voire éclater de rire dans mon cas. 

    Reconnaissons aussi la qualité de l'animation. L'anime, haut en couleur, certes accentue le côté jeu, mais est également très plaisant et lui permet de se démarquer. Au moins, le ton est donné directement, on sait que rien ne sera vraiment sérieux. Si au début, c'est un peu choquant, on s'y habitue très vite, et on ne voit plus le monde qu'à travers ces couleurs flashy. Les couleurs contribuent également au rythme. Difficile, à mon avis, de faire lent quand les couleurs sont aussi voyantes. De ce fait, l'anime bouge et l'histoire se déroule assez rapidement, voire trop. Arrivé à la fin (je ne spoile pas), on attends tout simplement une suite. Il n'y en a pas assez, et c'est pour cette raison que j'ai regardé à nouveau l'anime dans la foulée.

    Ensuite, mention spéciale à la musique, qui elle aussi, renforce l'aspect jeu vidéo sans nous pousser à saturation. Légèrement électro, elle rythme l'histoire et l'accentue. J'aime particulièrement l'opening. Dynamique, de très bonne qualité tant au niveau musical que sur le rythme changeant et entraînant.

    Bref, tout comme Kuroko's Basket, cet anime fait partie de mes coup de cœur indétrônables.  L'humour, le graphisme particulier, le dynamisme de l'histoire et les personnages font de cet anime, à mon sens, une série incontournable

     

    ★★

     

     

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